« Donne-moi quelque chose qui ne meurt pas », c’est une voix, une guitare et un vibraphone. 

Ce sont les textes délicats de Bobin qui croisent une insolite interprétation de Bach.

Cette fusion entre littérature et musique engendre une danse ensorcelante, dévoilant la profondeur inattendue de chaque instant.

Une ode à la beauté dissimulée du quotidien, chaque mot, chaque accord devient un rendez-vous avec l’extraordinaire.

Mise en voix Sabrina Ahmed

Mise en musique Guillaume Viala et Aladin Chaboche